Romain Puértolas: «J’ai besoin d’une deuxième vie»
Romain Puértolas nous embarque, une fois de plus, dans une histoire incroyable. Avec « Sous le parapluie d’Adélaïde », il joue encore avec le lecteur.


C’est une enquête impossible. Sur la Grand-Place de la ville de M., on joue le spectacle de Noël. Il y a au moins 500 spectateurs. Et parmi eux, une victime, Rose Rivières, et un meurtrier, qui l’a étranglée au milieu de la foule. Rose, on la retrouve, sur le pavé, quand le monde s’est dispersé. Mais son meurtrier, mystère. Personne ne l’a vu, il a perpétré son geste au milieu du public, mais tout le monde regardait le spectacle. Sur une photo du journaliste local, cependant, on distingue le visage de Rose. Et deux mains noires autour de son cou. La police arrête immédiatement Michel, l’Africain qui travaille à la Poste. Martine est une jeune avocate, elle est désignée d’office pour le défendre. C’est elle qui mène l’enquête du livre. Et Romain Puértolas s’amuse, dans son huitième roman comme dans les précédents, à ballotter son lecteur d’une piste à l’autre, d’un coupable à l’autre. Et sourit du coup de théâtre final qu’il a parfaitement mis au point et auquel, évidemment, je me suis laissé prendre.

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