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«La Lettre du Brexit»: De beaux jours en perspective pour Carrie Symonds, compagne et âme de «Bo Jo»

Lassée par des rôles de représentations, la compagne du Premier ministre britannique s’invite dans les coulisses de la politique du 10 Downing Street.

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Temps de lecture: 5 min

Jusqu’au psychodrame du limogeage du principal conseiller du 10 Downing Street, Dominic Cummings, personne n’avait prêté la moindre attention à Carrie Symonds. Le covid, les soubresauts de l’élection présidentielle américaine et l’impasse dans les négociations sur la sortie de l’Union européenne avaient fait passer à l’arrière-plan la jeune compagne de Boris Johnson. Réputés pour leur misogynie et leur brutalité, Cummings et sa garde de fer de supporters d’un Brexit pur et dur étaient parvenus à marginaliser cette Londonienne de 32 ans qu’ils avaient affublée de l’odieux sobriquet de « princess nut nut » (princesse neuneu).

Le vendredi 13 Novembre (!), le château de cartes, patiemment empilées par Dom Cummings s’est brutalement effondré. Poussé par la « Première Girlfriend », Boris Johnson s’est débarrassé en un tournemain de l’artisan de la victoire du Brexit au référendum de 2016 et du triomphe électoral de la droite de 2019.

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1 Commentaire

  • Posté par DUFOUR Frédéric, mercredi 25 novembre 2020, 10:18

    "Grâce à la « First Girfriend », le chef du gouvernement peut engager une phase plus consensuelle de son mandat qui se termine en 2024." Euh... Comment la "phase la plus consensuelle" du mandat de Johnson peut-elle commencer alors qu'un No-Deal Brexit se profile dans plus de cinq semaines ? Peu importe qui est la "Première Petite Amie" - la politique britannique ne pourra que se durcir au vu des conditions économiques et sociales absolument intenables à venir.

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