«Deal» ou «no deal»: en attendant que Boris Johnson se décide…
Brexit, suite et toujours pas fin. La négociation d’un accord commercial post-Brexit placée sous respirateur artificiel.


L’heure de vérité tant attendue… n’a toujours pas sonné. L’espoir d’y voir plus clair dans l’issue du Brexit à la fin du week-end s’est évanoui. Et c’est reparti pour un tour de négociations. Un petit tour.
A l’issue de leur dîner en tête-à-tête, mercredi soir, la présidente de la Commission européenne et le chef du gouvernement britannique avaient promis de décider, avant la fin du week-end, s’il convenait de débrancher la prise, ou pas. Une « décision ferme sur le futur des pourparlers » allait être prise, assurait le gouvernement de Londres. Stop ou encore ? La décision est prise. Mais elle est plus nébuleuse que « ferme »…

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir16 Commentaires
On a bien compris que les gentils sont les "Européens" et que le méchant est "Bo.Jo". Mais comment, à la lecture de cette presse européaniste particulièrement évasive sur les conséquences que pourrait avoir un "no deal", ne pas être incité à penser que les Britanniques pourraient y avoir beaucoup plus à gagner que les "Européens", une fois de plus ?
L'Angleterre n'a pas d'amis ou d'ennemis permanents ; elle n'a que des intérêts permanents
@Lemire Monique, c'est vrai aussi des autres pays dont l'Allemagne et la France, sauf que par l'histoire nous sommes davantage redevables au Royaume-Uni qu'au premier qui nous a envahi deux fois ni qu'au deuxième expert en forfanteries diverses avec les résultats militaires que l'on sait. C'est triste pour le peuple britannique d'encaisser les conséquences d'un Brexit après avoir subi Cameron à l'égo démesuré et puis Boris Johnson dont le célèbre écrivain Le Carré avait cru bon de le comparer à un porc...
@Lemire Monique, c'est vrai aussi des autres pays dont l'Allemagne et la France, sauf que par l'histoire nous sommes davantage redevables au Royaume-Uni qu'au premier qui nous a envahi deux fois ni qu'au deuxième expert en forfanteries diverses avec les résultats militaires que l'on sait. C'est triste pour le peuple britannique d'encaisser les conséquences d'un Brexit après avoir subi Cameron à l'égo démesuré et puis Boris Johnson dont le célèbre écrivain Le Carré avait cru bon de le comparer à un porc...
@Lemire Monique, c'est vrai aussi des autres pays dont l'Allemagne et la France, sauf que par l'histoire nous sommes davantage redevables au Royaume-Uni qu'au premier qui nous a envahi deux fois ni qu'au deuxième expert en forfanteries diverses avec les résultats militaires que l'on sait. C'est triste pour le peuple britannique d'encaisser les conséquences d'un Brexit après avoir subi Cameron à l'égo démesuré et puis Boris Johnson dont le célèbre écrivain Le Carré avait cru bon de le comparer à un porc...