Joe Biden tance Donald Trump pour ses actions de sape envers la démocratie américaine
Le démocrate souhaitait visiblement prendre à la gorge le président sortant, coupable d’avoir fait des pieds et des mains depuis le 3 novembre pour invalider le résultat de l’élection.


Sa campagne célébrait « l’âme du pays » et appelait à sa restauration, après quatre années chaotiques sous le règne ombrageux de Donald Trump. Mais une première version, avant le début des primaires en Iowa, il y a bientôt un an, évoquait un Joe Biden moins lyrique, plus combatif. Plus authentique, en sorte. Celle-ci se prénommait simplement « no malarkey » (on arrête de dire n’importe quoi) et collait à son sujet, un homme simple originaire d’une ville industrieuse de Pennsylvanie, qui fut longtemps sénateur démocrate du Delaware et ne se piquait pas de mots, même les plus triviaux, face à ses adversaires politiques.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir8 Commentaires
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Posté par LIENARD NORBERT, mardi 15 décembre 2020, 16:23
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Posté par Robert Anne-marie, mardi 15 décembre 2020, 16:36
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Posté par Harry Dorchy, mardi 15 décembre 2020, 11:33
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Posté par Mahmoud Laïla, jeudi 24 décembre 2020, 0:01
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Posté par Van Obberghen Paul, mardi 15 décembre 2020, 11:31
Plus de commentairesIl va être temps d avancer et arrêter de revenir sur le passé, à moins qu on n ait pas de solutions à proposer
JB se devait de faire une réponse! Il a attendu que tout soit scellé face à cet arrogant ou plutôt monstre d'arrogance. Son bilan économique n'est pas si brilliant qu'il l'affirme.
Trump ne ment pas, c'est la vérité qui se trompe...
Lol
"Nous savons désormais que rien, ni même une pandémie ou un abus de pouvoir, ne peut éteindre cette flamme" Force est de constater que sans la pandémie, Trump aurait certainement été réélu et haut la main encore bien. Car aux Etats-Unis, les bons résultats économiques d'un président sortant sont quasi le seul élément décisif pour sa réélection, et avant la crise de la Covid-19 ceux-ci étaient très bons (même si ont peut facilement lui en contester la paternité). La gestion catastrophique de la pandémie n'est que secondaire, et même ses 300.000 morts, et une fois de plus, sans elle, il est certain que le peuple américain n'aurait jamais pû constater l'incompétence fondamentale de Donald Trump à gérer un pays. Dans cette optique, on comprend mieux l'obsession de Trump vis-à-vis de la Chine et de son virus "chinois" qu'elle aurait fabriqué pour le détruire, avec la complicité des démocrates qu'elle aurait payés pour l'y aider. Un fantasme sans aucun doute, mais les adorateurs de Trump sont très clients de ce genre d'élucubrations. Hélàs.