Panama Papers: la Société générale dénonce des «amalgames scandaleux»
La Société générale est prise dans la tourmente des Panama Papers. Dans un entretien au Figaro donné dans le cadre de Lena, le directeur général de la banque, Frédéric Oudéa, conteste les accusations portées contre son groupe.

La tempête des Panama Papers s’est abattue cette semaine sur la Société générale. L’enquête du Consortium international de journalistes menée à partir de l’exploitation de fichiers du cabinet panaméen Mossack Fonseca a révélé que la banque française avait, le plus souvent via sa filiale luxembourgeoise, créé 979 sociétés offshore par son intermédiaire. Dans un entretien au Figaro, au lendemain de son rendez-vous à Bercy avec Michel Sapin, Frédéric Oudéa, réagit à ces affirmations. « Une personne qui souhaite frauder le fisc aujourd’hui ne vient pas ouvrir un compte à la Société générale ! », affirme-t-il. Selon lui, la Société générale ne compte plus que quelques dizaines de sociétés offshore actives, qui opèrent toutes en transparence.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Et oui Messieurs Dames, quand on fait dans l'amalgame ,on ne fait pas dans le détail. Dans ,l'amalgame financier, je ne puis vous aider, mais dans maints autres cas de la vie de tous les jours,il me serait loisible de vous informer ,un temps soit peu quand même. Les niveaux sont différents, mais les manières et les façons sont plus que similaires. Bien à vous