Gouvernement Orban et discrimination: chapitre infini
On ne compte plus les atteintes du gouvernement hongrois envers certaines communautés. La justice bruxelloise a même dû s’en mêler…


Qu’il est bon, pour le gouvernement hongrois de Viktor Orban, de savoir que juridiquement l’UE ne pourra pas lier la défense des valeurs fondamentales (au sens large) à l’octroi de ses financements. Jeudi dernier, il était convenu que ce lien existerait seulement pour les violations de l’Etat de droit qui ont un impact sur le budget européen. Cela fera une belle jambe à la communauté LGTBQ, ce mardi, qui a vu encore ses droits restreints. Le Parlement hongrois a validé des modifications à la Constitution qui précisent en substance qu’un enfant doit avoir un parent masculin et féminin et que son sexe est défini à la naissance (ici, les transgenres sont visés).
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
"Un enfant doit avoir un parent masculin et féminin et que son sexe est défini à la naissance...". Je ne vois pas pourquoi cette affirmation biologiquement correcte serait nécessairement contraire aux valeurs de l'UE. Mais il y a peut être des exemples plus convaincants..
Actuellement, l'enfant doit encore être créé par deux géniteurs fertiles et de sexe différent. Mais regardez autour de vous et vous verrez que tous les enfants n'ont pas deux parents. Vous n'appelez peut-être pas l'un des deux par un surnom affectueux et peut-être n'avez-vous pas de contact avec lui.