Pascale Seys au «Soir»: «La vie n’est qu’un passage. Le panache, c’est de s’en tracer un beau»
Pascale Seys est une philosophe enivrante. Loin des clichés pontifiants et des prises de tête, elle nous fait réfléchir, tout simplement, à la vie. Comme dans son dernier livre, « Le panache de l’escargot », sous-titré « Philosophie vagabonde sur l’humeur du monde ».


N’espérez pas dénicher des recettes pour (mieux) vivre dans le dernier livre de Pascale Seys. C’est une philosophe, hors norme peut-être, mais ce n’est pas une vendeuse du bien-vivre-en-kit. En fait, elle se contente de s’interroger et de questionner le monde, avec l’aide des animaux comme dans les fables et des écrivains et des philosophes, et c’est beaucoup. Ça nous appelle à faire de même, en enfourchant les chevaux qu’elle nous offre pour oser nous poser des questions, pour regarder plus loin, pour nous diriger vers des contrées lointaines et « explorer une dimension supérieure », comme dit notre éditorialiste en chef Béatrice Delvaux dans sa préface. Nous l’avons rencontrée, par téléphone, corona oblige.
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Aujourd'hui, il n'y a pas de titre mieux partagé que celui de philosophe.
Aujoud'hui, il n'y a pas de titre mieux partagé que celui de philosophe.
Jolie et distinguée mais à part cela ??? C'est pas les phylosophes qui vont nous guérir du Corona.
Et si vous la lisiez avant de commenter en vous focalisant sur son physique ? A part cela, l'orthographe juste est :"philosophe".
Vous démontrez par l'absurde toute la pertinence de son propos. Vous êtes comme la plupart d'entre nous une victime de cette immodestie et de ce cynisme ambiants.