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Pêche, contrôles à la douane, ... Ce que contient l’accord sur le Brexit conclu entre l’Union européenne et le Royaume-Uni

Un projet d’accord sur les relations futures avec Londres sera présenté ce vendredi aux pays européens. Pêche et concurrence loyale ont menacé plusieurs fois de faire dérailler les négociations.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 6 min

Le temps n’est plus compté ». Ceux qui suivent depuis quatre ans et demi les conférences de presse de Michel Barnier, le négociateur européen sur le Brexit, savent l’importance symbolique de cette déclaration. Tant de fois le Français a répété « the clock is ticking ». L’horloge a cessé de tourner à 14h44, jeudi. C’est à cette heure-là que l’accord a été conclu.

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17 Commentaires

  • Posté par Leclercq Jacqueline, vendredi 25 décembre 2020, 13:19

    Ils quittent une Europe dans laquelle ils n’ont jamais vraiment été. Entre la politique d’un pied dedans et un pied dehors et un accord de collaboration entre des partenaires certes séparés mais ayant un accord de collaboration, je ne sais trop quelle est la meilleure solution. Éviter un hard Brexit était absolument nécessaire et c’est le cas. On découvrira au fil du temps ces prochains mois voire années quel sera le réel impact de cette « séparation »

  • Posté par Naeije Robert, vendredi 25 décembre 2020, 10:09

    L'UE a fait le maximum pour empêcher qu'un état ex état-membre prospère à sa porte en étant débarrassé de sa trop lourde machinerie administrative avec toutes ses régulations inhibitrices de croissance économique. Le Royaume-Uni a déjà pu éviter des milliards d'Euro de participation au plan de relance européen post Covid-19. L'avance de près d'un mois prise par le Royaume-Uni dans la vaccination de ses citoyens pour les protéger d'une épidémie mortifère montre bien les aspects négatifs de l'hyper-inflation monstrueuse et paralysante de la bureaucratie européenne.

  • Posté par Pire Bernard, samedi 26 décembre 2020, 10:19

    Rassurez-vous : vous n'êtes PAS à côté de la plaque. Le lavage de cerveau médiatique orchestré depuis des mois pour démontrer que les Anglais avaient tort a marché à plein. La crise Covid a montré que CHAQUE Etat agissait à sa guise et que l'Europe était absente des débats, sauf quand il s'agira de trouver des sous, bien sûr. A ce moment, on parlera d'Europe. Idem à l'étranger, où la diplomatie européenne ne joue aucun rôle sauf pour accorder des prêts. Qui connaît d'ailleurs le responsable européen pour la diplomatie ? Personne. Ne parlons même pas des accords bilatéraux qui précèdent chaque décision "commune", l'usine à gaz bureaucratique de Bruxelles et autres organes coûteux et sans intérêt qui servent à recycler les invendus de la politique nationale, style Michel, Verhofstadt ou autres. Vous remarquerez aussi que le représentant européen pour le Brexit n'était pas l'habituel ressortissant d'un micro Etat qui ne représente rien mais bien un Français. Il y a fort à parier que l'ineffable Barnier aura reçu des instructions de Paris ou Berlin, qui convoitent le business laissé par les Anglais. Mais c'est sans compter sans le Commonwealth, une organisation mille fois plus équitable et démocratique que le brol européen.

  • Posté par d dsti, vendredi 25 décembre 2020, 14:46

    Vous êtes à côté de la plaque. La décision de vacciner 15 jours plus tôt que sur le continent pouvait être prise par n'importe quel pays d'Europe. Elle a d'ailleurs été prise par la GB alors qu'en ce moment elle fait partie de l'Europe et doit suivre ses règles qui en ce qui concerne la vaccination permet aux pays membres de décider seuls. Quant à prospérer seule, on verra dans quelques années et surtout quand l’Écosse aura décidé de sa propre indépendance. Ce Brexit est d'ailleurs une décision de personnes âgées nostalgiques refusée par la jeunesse britannique.

  • Posté par Bazior Edouard, vendredi 25 décembre 2020, 8:56

    L'auteur du texte de la vidéo doit revoir l'accord du participe passé.

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