Le sport amateur au bord du précipice
Figés par la crise sanitaire, de nombreux clubs souffrent le martyre et s’interrogent sur leur avenir.

Des gérants de complexes de tennis ou de salles d’arts martiaux qui mettent la clé sous le paillasson, des responsables de centres équestres qui se réorientent professionnellement, des dirigeants qui ne masquent plus leur inquiétude face aux risques de décrochage et de désaffiliation dans les prochains mois… Figé par la crise sanitaire, tétanisé par la peur de lendemains peu lumineux, le sport amateur a le moral dans les talons, s’accrochant à la date du 15 janvier comme un naufragé à sa bouée de secours. « Ce point de repère, posé par le Comité de concertation dans la foulée du second lockdown, nous offre une perspective dont nous avons tous cruellement besoin », insiste André Stein, président de l’Association interfédérale du sport francophone (AISF) – laquelle représente 62 fédérations, plus de 7.000 clubs affiliés, 120.000 bénévoles et 700.000 sportifs de toutes générations, à travers la Fédération Wallonie-Bruxelles.

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