Les héros invisibles: Marie-Charlotte, une mission d’aide autant que de répression
La policière a dû changer d’habitudes et de fonction face à la crise du covid. En première ligne pour faire respecter les mesures, elle a dû faire preuve de beaucoup de pédagogie.


Sur la place verte de Florennes, il n’y a rien de vert. Mais c’est là que l’hôtel de police se niche. On ne peut pas le rater. Sur un coin de la plus grande place de cette commune rurale. Nous sommes dans le Namurois, entre Charleroi et la frontière française, dans une zone de cultures et de champs, où les fermiers sont à peine troublés par les avions de chasse de l’aéroport militaire. Marie-Charlotte Trouhilet y est inspectrice depuis trois ans. Jeune, dynamique, elle vient nous cueillir à l’entrée. Le chef de corps de la zone Flowal (Florennes-Walcourt) nous avait prévenus : « J’ai trouvé ce que vous cherchez. » A savoir, une passionnée, désireuse de raconter son quotidien si éloigné des caricatures qu’on en fait. Une gageure en ces temps où la police est autant décriée qu’utile, autant silencieuse dans les médias qu’elle n’est visible dans la vie de tous les jours.
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Heureusement que Le Soir a une "cellule enquête" pour produire des papier de ce niveau. Sinon, c'est sympa d'apprendre que "Marie-Charlotte" a cessé de poursuivre les trafiquants de drogue pour pourchasser les organisateurs de barbecues. Ca doit faire super plaisir aux trafiquants de drogue, en fait. Et sinon, au commissariat, "Marie-Charlotte", c'est souper raclette ?