Léa Bayekula, valide dans sa tête
Rien, a priori, ne les destinait à devenir des sportifs de haut niveau. Jusqu’à ce qu’ils bousculent les stéréotypes et fassent de leur handicap un atout. Jusqu’à ce que le drame qu’ils ont vécu fasse d’eux des superhéros. Jusqu’à ce qu’ils parviennent à changer le regard que l’on porte sur eux. « Il n’existe pas d’humain standard ou ordinaire », a dit le physicien Stephen Hawking. Pendant une semaine, « Le Soir » part à la rencontre de six de nos plus grands champions paralympiques. Des athlètes qui sont tous des sources d’inspiration.

La jeune Bruxelloise, qui souffre d’une malformation de la moelle épinière, a mis du temps à s’accepter. Jusqu’à ce que l’athlétisme vienne à la rescousse de ses interrogations.
Sur sa chaise de compétition aux trois couleurs nationales – « Comme celle de Marieke Vervoort, mon modèle ! » –, la roue avant a mauvaise mine en bordure de la piste indoor de Louvain-la-Neuve. « J’ai crevé… », s’amuse Léa Bayekula. « Il va falloir que je répare ça ! »

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Beau courage