Accueil Sports Athlétisme

Léa Bayekula, valide dans sa tête

Rien, a priori, ne les destinait à devenir des sportifs de haut niveau. Jusqu’à ce qu’ils bousculent les stéréotypes et fassent de leur handicap un atout. Jusqu’à ce que le drame qu’ils ont vécu fasse d’eux des superhéros. Jusqu’à ce qu’ils parviennent à changer le regard que l’on porte sur eux. « Il n’existe pas d’humain standard ou ordinaire », a dit le physicien Stephen Hawking. Pendant une semaine, « Le Soir » part à la rencontre de six de nos plus grands champions paralympiques. Des athlètes qui sont tous des sources d’inspiration.

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 7 min

La jeune Bruxelloise, qui souffre d’une malformation de la moelle épinière, a mis du temps à s’accepter. Jusqu’à ce que l’athlétisme vienne à la rescousse de ses interrogations.

Sur sa chaise de compétition aux trois couleurs nationales –    « Comme celle de Marieke Vervoort, mon modèle ! » –, la roue avant a mauvaise mine en bordure de la piste indoor de Louvain-la-Neuve. « J’ai crevé… », s’amuse Léa Bayekula. « Il va falloir que je répare ça ! »

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

1 Commentaire

  • Posté par CREPIN Hugues, mercredi 30 décembre 2020, 21:50

    Beau courage

Aussi en Athlétisme

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs