«Chaque personne est différente face au deuil»


Kornél Mundruczó, c’est cet insaisissable réalisateur hongrois, à l’esprit parfois torturé, qui aime se jouer de la frontière entre réalité et rêve. Explorer les mythes (celui de Jeanne d’Arc dans Johanna ou de Frankenstein dans Tender Son). Interroger l’humain. Un habitué des festivals internationaux (White God a par exemple remporté le prix Un certain regard au Festival de Cannes en 2014) qui propose avec Pieces of a Woman, présenté à la Mostra en septembre, un film plus personnel, écrit par son épouse Káta Weber. L’histoire d’un couple qui doit faire face à la perte d’un enfant. Sa manière d’affronter le deuil. De renaître.
Ce film est très différent ce ceux que vous avez faits avant, notamment car il touche à votre histoire personnelle. Et en même temps il a ce sentiment commun de tristesse.
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire