Immobilier: plus c’est cher, plus ça coûte cher
Le baromètre des notaires indique une forte hausse des prix de l’immobilier résidentiel. Elle est surtout constatée dans le segment des biens les plus chers.


Il ne faut pas être fin spécialiste pour comprendre que le coronavirus aura eu une influence sur l’immobilier en 2020. Le premier baromètre des notaires de l’année fait état d’une baisse du nombre de transactions de 2,7 % à l’échelle nationale. Compte tenu des circonstances (confinements successifs, total au printemps, moins strict par la suite), il s’agit d’une baisse relativement minime même si elle varie en fonction des Régions (- 4,8 % à Bruxelles, – 4,2 % en Flandre et + 0,8 % en Wallonie). « Dès le mois de juin, le phénomène de rattrapage de l’inactivité de deux mois passés en confinement s’enclenchait et on constatait une très forte augmentation de l’activité l’été et une stabilisation au cours du dernier trimestre », explique Renaud Grégoire, le porte-parole de notaire.be.

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