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Neil Young, frappé par la fougue

Il était déjà là à la naissance du folk rock, et reste toujours à la pointe. Le « Loner » est aussi une « grande gueule » qui n’hésite pas à l’ouvrir.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 3 min

Neil Young est un de ceux à qui on ne la raconte pas. Un qui n’a pas attendu que Trump ne soit plus président pour l’attaquer de front, en poursuivant son équipe de campagne pour chaque utilisation de ses chansons lors des meetings électoraux. Un de ceux qui font l’objet d’une véritable adulation de plusieurs générations de musiciens, régulièrement cité comme une référence pour les compositeurs, musiciens, chanteurs, tous genres confondus. Un de ceux qui peuvent tout à la fois sortir un nouvel album chaque année et publier des trésors oubliés de son répertoire, à l’instar de Homegrown, paru en 2020 et dont les compositions dataient originellement de 1975. Sans oublier, dans le même temps, de célébrer les 50 ans de son album After The Gold Rush et de poursuivre la rédaction de la suite de ses mémoires, huit ans après la publication de son Autobiographie.

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