Humeur après l’invasion du Capitole: les politiques et le sens des mots

Les mots ont un sens. Un poids. Des conséquences. Et sont à utiliser à leur juste mesure. Un rappel plus utile que jamais aux politiques, après l’invasion du Capitole.

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Chez nous, la N-VA et, en particulier, son député Theo Francken se voient rappeler qu’en politique, l’usage des mots n’est pas anodin.

Cheffe adjointe du service Politique

Par Martine Dubuisson

Publié le 8/01/2021 à 17:02 Temps de lecture: 3 min

Nous allons marcher sur le Capitole ! » Voilà les mots de Donald Trump à ses partisans, deux heures avant l’invasion du Congrès américain. Avant ces images terribles du passage à l’acte. La faute au président qui refuse sa défaite et incite à la rébellion ?

Une chose est sûre : les mots ont un sens. Un poids. Des conséquences.

Et leur usage n’est pas anodin. Les comparaisons ou les références non plus.

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3 Commentaires

Posté par Lambinet Guy, samedi 9 janvier 2021, 12:52

et oui, nous avons des politiques dangereux, belliqueux et menant la zizanie au sein de notre pays. J'espère que l'ideologie du Vivaldi actuel, puisse se confirmer en changeant la donne pour les futures élections. A chaque vote, les belges sont déçus car, en final, on retrouve au gouvernement des gens que nous n'avons pas élus. A Bruxelles, on est bien placé pour le savoir avec la ministre de la mobilité et son prédécesseur.

Posté par Desmet Marc, vendredi 8 janvier 2021, 20:58

Ca nous pend au nez... C'est qui qui a fait monter à Bruxelles 10000 excités jaune noir brun le 27 septembre 2020 par ce que la proposition d'un gouvernement "Vivaldi" ne lui plaisait pas?

Posté par Andrieu-moreau , vendredi 8 janvier 2021, 19:33

Vous avez raison de mettre les points sur les 'i' . Certains politiques tournent trop facilement casaque en fonction des événements.

Posté par Lambinet Guy, samedi 9 janvier 2021, 12:52

et oui, nous avons des politiques dangereux, belliqueux et menant la zizanie au sein de notre pays. J'espère que l'ideologie du Vivaldi actuel, puisse se confirmer en changeant la donne pour les futures élections. A chaque vote, les belges sont déçus car, en final, on retrouve au gouvernement des gens que nous n'avons pas élus. A Bruxelles, on est bien placé pour le savoir avec la ministre de la mobilité et son prédécesseur.
Posté par Desmet Marc, vendredi 8 janvier 2021, 20:58

Ca nous pend au nez... C'est qui qui a fait monter à Bruxelles 10000 excités jaune noir brun le 27 septembre 2020 par ce que la proposition d'un gouvernement "Vivaldi" ne lui plaisait pas?
Posté par Andrieu-moreau , vendredi 8 janvier 2021, 19:33

Vous avez raison de mettre les points sur les 'i' . Certains politiques tournent trop facilement casaque en fonction des événements.