Brexit: l’UE ne digère pas le cavalier seul diplomatique voulu par Boris Johnson
Londres a refusé de négocier un accord en politique étrangère. Mais « notre offre tient toujours », dit l’UE.


Incompréhensible, choquant, regrettable. Le refus obstiné de Londres de s’engager dans une alliance structurée post-Brexit avec l’UE sur le front de la politique étrangère, de la défense et de la coopération au développement reste en travers de la gorge des Européens. Plusieurs eurodéputés l’ont dit jeudi, ainsi que la Commission, venue défendre devant le Parlement européen l’accord de commerce noué avec le Royaume-Uni à la veille de Noël.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
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Posté par Fuld Daniel, vendredi 15 janvier 2021, 17:05
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Posté par voxov ili, vendredi 15 janvier 2021, 15:55
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Posté par Staquet Jean-Marie, vendredi 15 janvier 2021, 15:10
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Posté par Chamla Jean, vendredi 15 janvier 2021, 14:37
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Posté par Pacolet Fabrice, vendredi 15 janvier 2021, 9:28
Plus de commentairesIl faut en tenir compte pour ce qui concerne les négociations post-Brexit en matière d'opérations financières. Fini de passer par la City !
"Johnson s’était pourtant engagé à nouer une coopération « ambitieuse, étroite et durable » sur ce front. C’est écrit noir sur blanc": Aah, parce que vous pensiez que BJ a signé le soft brexit pour être sympa ? Que l'on renvoie ces eurodéputés qui croient au Père Noël et qu'on les remplace par des gens pragmatiques qui vont vraiment se battre pour défendre l'UE. Alors sans doute les instances européennes recueilleront le respect de ceux qui leur ont délégué cette charge.
L’UE est devenu le rassemblement de tout ce que la planète compte de naïfs qui ne comprennent rien au monde qui les entoure.
"Acoquiné" ? Londres s'est acoquiné avec le Canada pour des sanctions contre le régime biélorusse ? Vraiment ?
Honnêtement, je ne vois pas en quoi c'est une surprise. En fait, cela va peut-être même pousser l'Europe à se restructurer pour plus d'efficacité dans la prise de décisions. Et donc, merci à Boris Johnson!