«Je n’ai pas peur des nationalistes»
Face à la montée des extrêmes, l’écologiste propose une « meilleure Belgique ». Elle reconnaît toutefois que la Vivaldi est peut-être bien « la dernière chance pour l’avenir du pays tel qu’on le connaît ».
Petra De Sutter se définit comme Belge avant d’être flamande. Sa famille penchait plutôt du côté des résistants mais cela ne l’empêche pas d’avoir une certaine compréhension à l’égard du nationalisme flamand. « Je pense qu’il faut pouvoir le surmonter et regarder ce qui nous lie à d’autres niveaux. La famille de ma mère habitait en Wallonie. Une tante à Jumet près de Charleroi et le reste à Cuesmes, près de Mons. Ma maman a fait ses humanités en néerlandais et l’université à Louvain, donc l’époque encore en français. Nous parlions dans les deux langues mais, lors des vacances avec mes cousins, tout était en français. Ils le regrettent d’ailleurs aujourd’hui. »
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