Tests antigéniques chez les médecins: grosses réticences côté francophone
Alors que les praticiens du nord du pays se réjouissent du déploiement des tests rapides dans les cabinets médicaux, côté francophone, l’enthousiasme est beaucoup plus mesuré. « Leur utilisation doit être limitée », insistent les représentants des médecins wallons et bruxellois.

Après un mois d’expérimentation chez une quinzaine de généralistes et six centres de tri à travers le pays, revoilà le sort des tests antigéniques – ces tests rapides qui permettent de dépister le virus en 15 minutes – sur la table de nos décideurs. Déploiement ou pas ? Un premier feu vient d’être donné côté flamand. Domus Medica, l’association flamande des médecins généralistes, a annoncé ce jeudi que les praticiens, mais aussi les centres de tri pourraient désormais utiliser ces tests. « Leur rapidité permet d’augmenter la prise en charge individuelle du patient et le suivi des contacts peut être lancé immédiatement. De cette façon, nous pouvons contrôler l’épidémie plus rapidement », s’est réjouie Ann Van den Bruel, professeure à la KU Leuven et responsable de la recherche sur le sujet.

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En Wallonie, on se mettra peut-être à utiliser les test rapides lors d'une prochaine pandémie, sait-on jamais...