Apprendre à vivre malgré, pas sans le virus
Aujourd’hui, les « variants » venus de Grande-Bretagne, d’Afrique du Sud et surtout du Brésil gâchent les espoirs donnés par la vaccination, en faisant planer la menace de nouveaux durcissements du confinement.


Très difficile. Pour tout le monde. La lutte contre le coronavirus est décidément réservée à des athlètes de compétition. Depuis des mois en effet, c’est comme si on reculait la ligne d’arrivée à chaque fois que nous commençons à l’envisager. Ce fut d’abord la deuxième vague à la fin de l’été, alors qu’on pensait reprendre une vie quasi normale. Ce fut ensuite ce décembre maudit où les réveillons ont été reportés aux calendes grecques. Et ce sont aujourd’hui les « variants » venus de Grande-Bretagne, d’Afrique du Sud et surtout du Brésil qui gâchent les espoirs donnés par la vaccination, en faisant planer la menace de nouveaux durcissements du confinement. Seule la fermeture des frontières semble exclue dans un pays ouvert aux quatre vents comme le nôtre. « Ce qui est terrible avec cette pandémie, c’est que chaque fois qu’on commence à apercevoir le bout du tunnel, il s’éloigne encore un peu plus », twittait jeudi un journaliste français, nous donnant le piètre réconfort du ras-le-bol partagé.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir16 Commentaires
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Posté par Chevalier , mercredi 20 janvier 2021, 14:49
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Posté par Martin Roland, lundi 18 janvier 2021, 10:04
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Posté par Staquet Jean-Marie, dimanche 17 janvier 2021, 21:45
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Posté par Bonisseur de La Bath Adolphe, dimanche 17 janvier 2021, 16:08
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Posté par MORNARD PASCAL, dimanche 17 janvier 2021, 11:39
Plus de commentairescette surmortalité de 17000 personnes, je ne la trouve pas catastrophique. Ce sont en toute grande majorité des personnes de plus de 75 ans qui sont décédées et c'est aussi une conséquence du vieillissement de la population. Les risques de décrochages scolaires, la perte du gout de vivre et la démotivation de notre jeunesse m'inquiètent beaucoup plus. On les prive de toute vie sociale à l'âge où on se construit par les relations sociales. Et cela pour sauver des vies de personnes qui ont déjà leur vie derrière eux. On les culpabilise sans cesse. Quel dégâts va-t-on découvrir?? Il faut d'urgence permettre à tous les jeunes de reprendre un minimum de vie sociale.
Perso. je préfère être un élément statistique dans la répartition des personnes vaccinées que dans celui des macchabées .
Bref, il n'y aura plus jamais de discothèques... par contre des manifs BLM, ça ça ne posera jamais de problème.
Ici Radio Moscou. Preparons-nous pour la cinquième vague, par la camarade Delvaux.
Delvaux: La voix de son maître.