Ces pays qui sont nos labos de vaccination
En Israël, un quart de la population est déjà vacciné. Pourtant, l’incidence ne chute pas encore. Pourquoi ? Le professeur Antoine Flahault analyse les leçons à retenir pour nos propres plans de vaccination.

Antoine Flahault est le directeur de l’Institut de santé globale de Genève. Il analyse les enjeux de la vaccination mondiale.
Certains pays arrivent déjà à des taux de vaccination impressionnants. En Israël, 25 % de la population a reçu une première dose. Aux Emirats arabes unis, 15 %… Comment ont-ils pu aller si vite ?
Ces pays avaient fortement anticipé la campagne de vaccination. Ils en avaient les moyens. Ils sont à la fois riches et agiles car ils ne dépendent pas d’agences fédérales ou européennes pour se procurer les doses. Ils ont une possibilité de négociation directe avec les industriels et ils ont pu y mettre le prix.
Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Beaucoup de "si" et de "peut être". Confirmation que nous sommes dans une grande experimentation mondiale. Bilan provisoire dans deux ou trois ans. Une vraie roulette russe à base de traitement génique américain. Amusant....
Ah ça oui, c'est des mots compliqués, hein ? Et en plus les phrases sont vachement longues. Alors on ne comprend plus rien !. Tout s'embrouille, hein, mon pauvre Monsieur Burnotte... N'hésitez pas à déménager. Allez vivre en dictature. Là, il n'y a pas de si, pas de peut-être. Je pense que ça vous convient mieux. Par ailleurs, le vaccin n'est pas un "traitement génique" : l'ARN, ce n'est pas un gène. Documentez-vous. Mais bon, comme vous faites une soupe avec tout, je vous recommande la Russie, ou la Chine. On vous expliquera ce qu'il faut penser.
La monsieur Naeije, j'approuve votre remarque. Vous m'ôtez même les mots de ma bouche.
Burnotte. Vous êtes un ignorant mal intentionné.