Un marché à l’aube d’un nouveau départ
Les prix sont en hausse, et cela pourrait bien durer.


En 2020, Namur a été conforme à ce qu’il s’est passé dans d’autres grandes villes du pays : les ventes réalisées en mai et juin ont compensé, si pas dans la totalité du moins en grande partie les pertes enregistrées pendant la fermeture de l’activité en mars et avril. A tel point qu’aujourd’hui les puits de nombreuses agences immobilières sont à sec. « Il n’y a plus grand-chose à vendre », confirme Philippe Taillet, le patron de Latour et Petit Namur. « Et ce qui reste part en une semaine, ou maximum un mois. Nous avons réalisé un chiffre d’affaires identique à celui de 2019 alors que nous n’avons travaillé que neuf mois au lieu de douze… (si l’on ajoute le confinement d’octobre). »
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