Le Real Madrid envisage le futur sans Zinédine Zidane
Malgré la colère des supporters (qui n’ont que les réseaux sociaux comme seul exutoire) et les gros titres de la presse espagnole (« Humiliation », « La gifle », etc.) après l’élimination après prolongations contre une équipe de D3 réduite à dix, Zinédine Zidane restera à la tête du Real Madrid. Idéalement jusqu’en fin de saison à moins que le 8e de finale aller en Ligue des champions face à l’Atalanta le 24 février prochain ne remette de l’huile sur le feu…

Être une icône d’un club ou d’une sélection n’est pas un totem d’immunité quand vous avez accepté d’endosser les responsabilités d’entraîneur. Si des symboles comme Jan Ceulemans (9 mois au FC Bruges en 2005-2006), Paul Van Himst (viré à mi-parcours par Anderlecht en 1985-1986), Michel Platini (fiasco de l’équipe de France à l’Euro 92) ou Johan Cruijff (tant à l’Ajax en 1988 qu’à Barcelone en 1996) ont vécu cette désillusion, pourquoi Zinédine Zidane échapperait-il à la « règle » ?

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