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A peine 25% des cafés et restaurants résistent à la crise à Bruxelles

Le bureau Graydon a analysé l’impact des mesures de soutien. Au total, 20 % des entreprises belges sont aujourd’hui en grande difficulté, elles seraient 49 % sans les primes et autres aides.

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Temps de lecture: 5 min

L’impact du covid sur l’économie ? Selon Graydon, à Bruxelles, 25,1 % des entreprises risquent la faillite et ont donc besoin d’une injection urgente de cash, alors que la plupart d’entre elles (19,5 % des sociétés) se portaient bien avant la crise. En Wallonie, 28,3 % sont dans ce cas (24 % étaient saines avant mars 2020). Derrière ces chiffres régionaux se cachent des réalités bien différentes selon les secteurs d’activité. Le Soir a demandé à Eric Van Den Broele, directeur Recherche et Développement chez Graydon, de faire tourner ses modèles, pour obtenir une image précise de la situation financière des commerces, bars, restaurants et salons de coiffure, à Bruxelles et dans cinq villes wallonnes (Liège, Charleroi, Namur, Mons et Louvain-la-Neuve) dix mois après le début de la pandémie.

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12 Commentaires

  • Posté par Vynckier Albert, vendredi 22 janvier 2021, 14:06

    pour placer un jeu de mots dans j'ai le secret "aux yaka doivent succéder les y'horeca"

  • Posté par Dupres Willy, vendredi 22 janvier 2021, 10:52

    Je n'ai aucune compassion pour ceux et celles qui travaillent au noir comme la majorité du secteur horeca. Les milliards perdus par l'état pour les revenus non- déclarés et bien c'est moi et d'autres citoyens qui les payons dans nos impôts.

  • Posté par Staquet Jean-Marie, vendredi 22 janvier 2021, 11:13

    Reste à voir si vous avez un jour réellement travaillé dans votre vie... Car les grands pourfendeurs d'indépendants sont généralement des gens qui n'ont pas la moindre idée de ce que c'est que travailler réellement...

  • Posté par burnotte Michel, vendredi 22 janvier 2021, 10:46

    Une évidence. Un assassinat organisé. et dire que certain ministre affirmait vouloir pouvoir se regarder dans un miroir.

  • Posté par Staquet Jean-Marie, vendredi 22 janvier 2021, 9:32

    La réalité est qu’en Belgique, surtout francophone, la populace et la classe politique se délectent du spectacle d’indépendants qui souffrent parce qu’elles haïssent ces gens qui osent faire autre chose que végéter dans l’assistanat, prendre une carte de parti, lécher les bottes des baronnets locaux et se rendre dépendants toute leur vie. Il ne leur restera plus qu’à se mettre à genoux devant les Starbucks et compagnie pour les supplier de consentir à ouvrir des franchises dans leurs trous à rats en échange d’avantages de toutes sortes. Les séances de léchage de bottes par les baronnets vont commencer très prochainement. « C’est un choix », « Ils le savaient en commençant », comme on dit. Ca vaudra pour eux aussi.

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