Les ASBL sportives tirent la sonnette d’alarme
Les nouvelles restrictions sanitaires pour la pratique d’activités extrascolaires fragilisent un peu plus les structures indépendantes. Danse, basket, escalade : trois passionnés rappellent que le bien-être des enfants devrait rester la priorité.


Ici, on apprend à danser le hip-hop ou le raga. Dès 4 ans. « Mon rêve, il y a vingt ans, c’était de créer une école loin des codes élitistes de la discipline, du classique qui impose un schéma corporel prédéfini ». Geneviève Francart l’a réalisé, « puisqu’en temps normal », GFitDance fait évoluer 400 élèves, avec son équipe de 15 salariés, indépendants ou bénévoles, dans trois espaces loués dans le Brabant wallon. En temps normal, car en septembre dernier, elle comptait déjà environ 100 affiliés de moins. Sans le spectacle de fin d’année, sa publicité, sa collégialité, en raison des incertitudes autour de l’évolution de la situation sanitaire, certains ont préféré ne pas payer la cotisation de la nouvelle saison. Unique source de revenus pour cette ASBL, qui, de confession, pratique « les plus petits prix possibles » et permet de payer l’adhésion « en plusieurs fois si nécessaire ».

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Et elles sont où les bulles dans les reportages sur le hockey et le rugby diffusés hier à la télé ? Contacts, non respect des 10 max, ....