Sept mois d’étrange gueule de bois, pas de soirée à organiser, beaucoup de nuits blanches passées à cogiter. Les patrons de clubs, derniers oubliés du Conseil national de sécurité, sont fatigués d’être ignoré, financièrement, au bord de l’asphyxie. Ils alertent aussi : « La fête, elle, continue un peu partout. Sans nous, sans prévention, sans filet de sécurité ».
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