Chronique: la fuite en avant des démocraties
Le malaise démocratique était déjà perceptible dans les pays occidentaux bien avant la pandémie de Covid-19. Ce n’est qu’en renforçant la démocratie que nos sociétés pourront affronter les crises à venir.


Mais qu’est-ce qu’il leur arrive ? Les démocraties occidentales étaient censées être les mieux équipées et les plus efficaces. Et patatras, depuis que le coronavirus a imposé sa loi, la plupart d’entre elles improvisent, cafouillent, procrastinent. Le système qui avait jusqu’ici assuré les meilleurs Produit et Bonheur intérieurs bruts ressemble de plus en plus à une poule sans tête.
Pendant ce temps-là, alors qu’elle est au « ground zero » de la pandémie, la Chine plastronne. A Wuhan, c’est presque le retour à la normale, comme si rien, ou si peu, ne s’était passé. Et la presse officielle se prend même à ironiser sur les incapacités et le décervellement de l’Occident.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir6 Commentaires
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Posté par Filippo Michele, samedi 6 mars 2021, 8:52
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Posté par Filippo Michele, samedi 6 mars 2021, 8:52
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Posté par Filippo Michele, samedi 6 mars 2021, 8:51
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Posté par Lombard Fernande, vendredi 5 mars 2021, 12:31
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Posté par stals jean, vendredi 5 mars 2021, 12:16
Plus de commentairesSi vous portez votre jugement sur 'le simulacre du droit de vote' à son corollaire, on ne peut qu'on déduire que l'on vit en ce pays dans 2 réalités différentes ne se reflétant pas dans la formation gouvernementale fédérale. Aujourd'hui c'est la Flandre à y être sous-représentée, hier c'était le tour de la Wallonie. On a beau rétorquer que ce virus ne s'arrête pas aux frontières, chaque pays de l'UE ayant adopté - dans le fond ou dans les détails - une gestion divergente de la crise. Il faudrait agir en conséquence et réformer ultérieurement le système. Tant mieux si l'on pourrait rester ensemble dans cette nouvelle configuration. Au niveau européen il n'y a pas d'autre issue en tout cas. Chez nous non plus à première vue (la question Bruxelles et la répartition de la dette) mais ça ne suffit plus à masquer les graves défaillances. Merci pour l'excellent article et l'analogie - très pertinente - avec les crises des années 70.
Si vous portez votre jugement sur 'le simulacre du droit de vote' à son corollaire, on ne peut qu'on déduire que l'on vit en ce pays dans 2 réalités différentes ne se reflétant pas dans la formation gouvernementale fédérale. Aujourd'hui c'est la Flandre à y être sous-représentée, hier c'était le tour de la Wallonie. On a beau rétorquer que ce virus ne s'arrête pas aux frontières, chaque pays de l'UE ayant adopté - dans le fond ou dans les détails - une gestion divergente de la crise. Il faudrait agir en conséquence et réformer ultérieurement le système. Tant mieux si l'on pourrait rester ensemble dans cette nouvelle configuration. Au niveau européen il n'y a pas d'autre issue en tout cas. Chez nous non plus à première vue (la question Bruxelles et la répartition de la dette) mais ça ne suffit plus à masquer les graves défaillances. Merci pour l'excellent article et l'analogie - très pertinente - avec les crises des années 70.
Si vous portez votre jugement sur 'le simulacre du droit de vote' à son corollaire, on ne peut qu'on déduire que l'on vit en ce pays dans 2 réalités différentes ne se reflétant pas dans la formation gouvernementale fédérale. Aujourd'hui c'est la Flandre à y être sous-représentée, hier c'était le tour de la Wallonie. On a beau rétorquer que ce virus ne s'arrête pas aux frontières, chaque pays de l'UE ayant adopté - dans le fond ou dans les détails - une gestion divergente de la crise. Il faudrait agir en conséquence et réformer ultérieurement le système. Tant mieux si l'on pourrait rester ensemble dans cette nouvelle configuration. Au niveau européen il n'y a pas d'autre issue en tout cas. Chez nous non plus à première vue (la question Bruxelles et la répartition de la dette) mais ça ne suffit plus à masquer les graves défaillances. Merci pour l'excellent article et l'analogie - très pertinente - avec les crises des années 70.
Nos politiciens ont quand même empêché Hitler de ravager l'Europe, Ils ont aussi empêché les américains de détruire Hiroshima et Nagasaki. Ils ont installé la démocratie d'une façon définitive sur notre planète et vont chercher de l'eau sur Mars vu qu'elle se raréfie en Afrique. Soyons fiers de nos hommes politiques !... (2°)...
Et si l'on se posait en toute honnêteté la question : que veut dire le vocable "démocratie" alors qu'au nom de la mondialisation, càd au nom de la libéralisation à outrance des Marchés financiers, il n'existe plus sur notre planète, un seul pays une seule nation quelque soit son régime politique, qui ne soit pas confronté à 100% au problème de sa "DETTE PUBLIQUE". Si l'on se réfère à l'étymologie, il n'y a en effet pas il n'y a d'ailleurs jamais eu de "démocratie" au sens étymologique du terme sur notre planète...Même nos sois disant démocraties les plus avancées n'ont jamais été que des démocraties "miroirs aux alouettes", des leurres...jamais au grand jamais une seule décision n'est prise, par les dirigeants politiques, sans d'abord penser; FINANCE.. Démocratie? Peuples souverains...Mensonges, foutaises, imposture. Inféodés jusqu'à la moelle aux Marchés boursiers, ce fleuron d'entre tous les fleurons d'un néolibéralisme économique fascisant mondialisé et qui règne en maître absolu sur tous les budgets, et partant sur les dépenses publiques, et privées d'ailleurs, le vocable "démocratie" devrait obligatoirement être accompagné du terme "carnaval". Démocratie de carnaval, ok à la grande rigueur, sinon, ce mot "démocratie" devrait être rayé de tous les dictionnaires une bonne fois pour toute...