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Berlinale: «Ma relation avec le documentaire est polémique»

Seul film belge sélectionné à la Berlinale cette année, « Juste un mouvement » de Vincent Meessen est un objet de cinéma multiple et sensoriel qui met notamment en exergue la renaissance de la pensée africaine.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 5 min

Artiste pluridisciplinaire, Vincent Meessen est de ceux qui interrogent autant le fond que la forme. Qui questionnent la réalité pour livrer des objets artistiques complexes, mettant le spectateur à l’épreuve de ses convictions et de ses perceptions. « Je fais partie de ces artistes qui travaillent au carrefour de plusieurs mondes », concède celui qui représentait la Belgique à la Biennale (d’art) de Venise en 2015. Parmi ces mondes, l’art contemporain bien sûr, mais aussi le cinéma dont il expérimente les limites pour proposer des objets uniques. Une singularité qui a attiré l’œil de la Berlinale, qui l’a sélectionné cette année dans la section Forum. « Avoir été sélectionné à la Berlinale est évidemment important pour moi car il s’agit de mon premier long-métrage. Ça procure une forme de respectabilité et d’identité de cinéaste. Pour le monde du cinéma, c’est très important. Pour les gens qui financent aussi. De ce point de vue-là, c’est une reconnaissance qui n’est pas négligeable. »

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