Marie-Martine Schyns va devoir forcer sa nature
Portrait de la nouvelle ministre de l’Enseignement en Communauté française.


Profession = roue de secours. A l’été 2013, Benoît Lutgen avait appelé Marie-Martine Schyns à remplacer à l’Education Marie-Dominique Simonet, démissionnaire pour raisons de santé. Samedi, la même Marie-Martine Schyns a été invitée à remplacer Joëlle Milquet, démissionnaire pour cause d’inculpation.
A l’été 2013, le nom de Marie-Martine Schyns (« MMS », pour les gens pressés…), avait constitué une surprise – la citoyenne de Herve n’était guère connue au-delà de son périmètre local. Là, en 2016, elle représentait un scénario quasi-obligé – qui de mieux, pour prendre le relais de Milquet, que quelqu’un qui s’est déjà frotté à l’exercice ministériel, à l’Education en prime ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Si elle doit écarter ce qui est impayable, socialement impossible et ne garder que ce qui est réaliste, il ne restera rien du tout et nous continuerons à figurer dans le peloton de tête des inégalités scolaires...
Je le pense aussi. Mais nous sommes dans le peloton de tête pour ce qui est du nombre d'écoles d'enseignement spécial, sans doute parce que les maternelles actuelles et les primaires ne jouent pas leur rôle d'apprenantes, mais aussi parce que les parents ne prennent plus leur part dans l'instruction de leurs enfants.
Je le pense aussi. Mais nous sommes dans le peloton de tête pour ce qui est du nombre d'écoles d'enseignement spécial, sans doute parce que les maternelles actuelles et les primaires ne jouent pas leur rôle d'apprenantes, mais aussi parce que les parents ne prennent plus leur part dans l'instruction de leurs enfants.