Vie privée: «Ils chipotent dans les bases de données de la Sûreté de l’Etat»
La Smals, l’ASBL dirigée par Frank Robben, ne dépend de personne mais son action concerne tout le monde. Son idée de centraliser toutes les données ne plaît pas non plus aux services de renseignement.


Pour travailler avec la Smals, en gros la plus grosse boîte informatique du pays (près de 2.000 collaborateurs, 350 millions de chiffre d’affaires), il ne faut pas être « client » mais bien « membre ». La nuance est de taille. Son statut d’ASBL publique lui permet en effet de profiter de quelques précieuses exceptions à la loi sur les marchés publics (en clair, de s’en passer). Ou encore de se soustraire à la TVA de 21 %. « Ce qui, en soi, constitue une bonne utilisation des deniers publics », tempère un observateur.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Ne dites plus Smals, mais disez Stasi...