Horeca: Bruxelles et la Wallonie vont muscler leurs aides
Après l’annonce de la fermeture des restos et des cafés jusqu’au 1er mai au moins, les deux régions sont sur le point de débloquer de nouveaux moyens pour soutenir le secteur se plaignant d’une inégalité de traitement avec la Flandre.
Vendredi dernier, à l’annonce des décisions prises par le Comité de concertation, l’horeca wallon et bruxellois s’est étranglé deux fois. D’abord parce qu’il a dû avaler une fermeture probable des restos et des bars, y compris en terrasse, jusqu’au 1er mai au moins. Ensuite, parce que Jan Jambon (N-VA), le ministre-président flamand, a pris ses homologues de court en annonçant une hausse très nette du soutien financier au secteur au Nord du pays. Cette aide toujours mensuelle – alors qu’elle est accordée au coup par coup dans la capitale et au Sud – va passer de 10 à 15 % du chiffre d’affaires perdu. « On en est presque réduit à demander l’asile économique à la Flandre », rit (jaune) Liza Miller, une des chevilles ouvrières du Collectif resto bar Bruxelles.
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Qui a voulu la régionalisation économique ? Au départ pas la Flandre comme tout le monde le croit. La Flandre voulait un respect et une protection de sa langue, une indépendance culturelle et être maître de son enseignement. C'est le PS qui voulait un territoire où il serait le premier chez lui , quitte à lâcher les Fourons qui votaient PSC. Les Wallons votent PS et se retrouvent avec une région moins riche et donc moins capable de les aider. Il faut savoir assumer les conséquences de ses actes.
Encore des aides pour les fraudeurs, En Belgique on gagne + en ne travaillant pas que le contraire.
Il y a peut-être de la fraude dans l'horeca mais vous ne pouvez pas dire qu'ils ne travaillent pas.