L’Union européenne veut tirer rapidement les leçons d’OpenLux
La Commission promet de s’attaquer aux sociétés boîtes aux lettres. Les ONG demandent une publicité sans restrictions des registres sur les bénéficiaires réels d’entreprises.


Un mois a passé depuis le passage au crible du registre luxembourgeois des bénéficiaires effectifs de sociétés (Openlux) par Le Soir et seize autres partenaires. Et l’UE réfléchit à la manière de prendre la balle au bond des enseignements tirés des révélations.
« Cette enquête a révélé qu’un large nombre d’entreprises ne remplissent pas leurs obligations de déclarations » de leurs bénéficiaires réels, a estimé mercredi soir le commissaire européen à la fiscalité, Paolo Gentiloni, devant le Parlement européen. Dans les leçons qu’il tire, une emphase particulière est donnée aux entreprises considérées comme des coquilles vides, qui ont peu de substance économique et sont établies dans des pays à fiscalité avantageuse pour éviter des obligations ailleurs.

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