Un an après le début de la pandémie, Milan reste otage du coronavirus
Entre stupeur, frustration et espoir, la métropole se voit imposer un nouveau confinement strict.

Un printemps milanais précoce raconte l’histoire d’une renaissance avortée. Un an après le début de la pandémie, la métropole lombarde, qui trépigne d’impatience de renouer avec ses rythmes du passé, se retrouve à nouveau confinée. La Lombardie, comme une grande partie du territoire national a en effet été placée en « zone rouge » ce lundi.
« Retour à la case départ ! Une année s’est écoulée depuis le premier confinement et rien n’a changé. Et ce n’est pas tant la peur du virus qui nous épuise que le manque de confiance en nos dirigeants ; au lieu de nous offrir une perspective lisible de la situation sanitaire, ils semblent encore patauger dans l’opacité, » déclare, très remontée, la designer milanaise Silvia Gavina.
Sous l’impulsion du gouvernement de Mario Draghi, la campagne vaccinale nationale a enregistré un indéniable coup d’accélérateur, mais un dédale de prescriptions et d’interdictions paralyse encore le pays.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire