Le variant anglais persiste et signe
On l’appelle communément « le variant anglais ». Les scientifiques, eux, lui préfèrent le joli nom de « B117 », né d’une mutation du covid de base un jour d’octobre 2020 au Royaume-Uni. Joli nom mais gros dégâts. Selon une étude parue cette semaine dans la publication scientifique Nature, il pourrait présenter un risque de mortalité à 28 jours 61 % plus élevé que le virus original qui l’a engendré.
En croisant ce risque avec l’âge du patient, les chercheurs constatent que les sujets de 70 à 84 ans infectés par le B117 présentent une mortalité supérieure à celle des sujets infectés par l’original : 4,4 % pour les femmes (+ 1,5 %) et 7,2 % pour les hommes (+2,5 %). Un risque qui augmente encore chez les patients plus âgés.

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