Philippe Gilbert: «Pour Milan-Sanremo, je m’accorde une seule étoile»
Lucide, bien que l’obsession d’un bouquet sur la Primavera persiste dans son esprit, l’Ardennais connaît et mesure la forme exceptionnelle de ses concurrents, dont il n’est plus utile de rappeler les noms. Néanmoins, il aborde avec plaisir et même une certaine forme de nervosité la course qui manque à son palmarès.

Philippe Gilbert s’est octroyé un dernier regard acéré sur les lacets qu’il connaît néanmoins par cœur de la Riviera ligure encore emmitouflée au crépuscule de l’hiver. Respectant à la lettre un programme dont il n’a manqué aucun épisode, ce qui lui est déjà arrivé par le passé (refroidissement, grippe, chute), le Liégeois a profité de Paris-Nice pour affiner une condition qui monte en régime, pas seulement pour Milan-Sanremo, mais surtout pour les échéances printanières qui stimulent, à 38 ans, son appétit intact. Avant de quitter la « Course au soleil », Philippe Gilbert s’était confié quelques minutes par rapport à ses ambitions, ses attentes à l’égard de cette Primavera qui ne lui a toujours pas accordé ses faveurs.
Philippe, comment vous sentez-vous sur base du travail effectué jusqu’ici ?

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