«Procès de la solidarité et de la migration: non à l’instrumentalisation politique de la justice»
Dans une carte blanche, un vaste collectif de signataires dénonce l’acharnement judiciaire dont font l’objet selon eux plusieurs citoyens et un résident belges qui ont aidé des migrants
![Image=d-20190517-3TZ7DZ_high[1]](/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_856w/2021/03/19/node_361870/27977994/public/2021/03/19/B9726477574Z.1_20210319222504_000+GBEHQA8UO.1-0.jpg?itok=EYKuP6bY1616189583)
En vertu de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et de la Convention de Genève relative au statut des réfugiés, dont l’Etat belge est signataire, migrer est un droit et nos gouvernements se trouvent dans l’obligation de protéger les migrant·e·s. Cependant, la réalité est tout autre.
Le procès de la solidarité, un procès symbolique
Les 23 et 24 mars 2021 aura notamment lieu le procès en appel de Alaa, Anouk, Hassan, Hussein, Mahmoud, Mohammad, Mustapha, Myriam, Walid, Youssef et Zakia, onze personnes poursuivies depuis 2017 pour « trafic d’êtres humains et participation à une organisation criminelle ».

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Tous ses soi-disant réfugiés, dehors et çà le plus vite possible !! Juste la rascaille que les autres pays ne veulent pas !!!
Je zappe systématiquement tous les message utilisant l'écriture inclusive avec point médian.