Milan-Sanremo: la Primavera requiert une belle inspiration
Milan-Sanremo, le plus « facile » des cinq monuments demeure bel et bien le plus compliqué à maîtriser tactiquement. Jasper Stuyven a magistralement exploité un argument nécessaire pour dompter cette très longue épreuve : l’instinct.

Les dix minutes de la « finale » de Milan-Sanremo peuvent très aisément effacer l’interminable procession qui file avec le vent depuis la plaine du Pô. Ce stress qui envahit les muscles à l’approche de Poggio, l’ascension diabolique du hameau délabré de Sanremo vaut la trouée d’Arenberg ou le Koppenberg. Sauf qu’il demeure décisif, juge de paix majeur encore une fois, d’une édition qui aurait pu, à quelques détails près, revenir aux sprinters, et en particulier à son illustre représentant, Caleb Ewan (lire par ailleurs).
1 La victoire de Stuyven c’est aussi l’échec des trois favoris

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire