Coronavirus: les enseignants en ont ras-le-bol
Les mesures prises n’apaisent pas les esprits. Les acteurs de terrain n’ont qu’un seul souhait : avoir accès à la vaccination.


A quelle sauce serons-nous mangés la prochaine fois ? » Cette question, enseignants et directeurs se la posent en permanence depuis un an maintenant. Les annonces en cascade de ces derniers jours n’ont fait qu’accroître leur anxiété. Si la fermeture des écoles – tant redoutée par les acteurs de terrain, vu la détresse psychologique des élèves – a été évitée, les mesures prises par les ministres de l’Education pour contrer la propagation du virus ne semblent pas avoir apaisé les esprits.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Tout le monde en a ras-le-bol. D'abord il y a les passe-droits qui accompagnant leur compagne infirmière ou leurs vieux parents et qui se font vacciner pour ne pas 'gâcher' les doses. Puis il y a les policiers, les soldats, les enseignants, ... qui voudraient passer devant les plus vulnérables. Et pourquoi pas le personnel des supermarchés, les pompiers, les commerçants, les commerciaux qui voyagent beaucoup, les titres-service, et j'en passe. C'est tout bonnement insupportable. Pendant ce temps, ma pauvre mère avec ses 82 ans et ses gros problèmes cardiaques attend toujours une hypothétique convocation. Et puis, que penser de tous ses gens qui luttent contre le cancer, ou autres maladies très graves, et qui voient passer devant eux tous ses pleurnicheurs, juste parce que leur tout puissant syndicat le demande? Et la justice dans tout ça?
... en tapant vite, lire 'ces' et pas 'ses' ;-)
Tout le monde ( sauf quelques bornés pathologiques ) a envie de se faire vacciner le plus tôt possible . Il ne faut cependant pas perdre de vue qu' être vacciné protège contre les formes graves de la maladie mais, n'empêche pas de contaminer d'autres . C'est donc bien par les plus faibles qu'il faut commencer et pas nécessairement par les plus exposés en bonne santé !
Attention. Il est maintenant acquis que la vaccination réduit de 80 % la transmission.