Knokke pressée d’ouvrir des toilettes pour éviter les «accidents»
L’afflux des touristes d’un jour impose à la commune de mettre rapidement en place des sanitaires en nombre. Mais pas n’importe lesquels. C’est une question de standing.


On tombe bien sûr parfois sur des petits accidents ». Anthony Wittesaele, l’échevin du Tourisme de Knokke, prend la chose avec humour. Ces « petits accidents » sont de ceux qui arrivent lorsqu’un besoin se fait trop pressant et que le lieu d’aisance vient à manquer. « Évidemment que ça arrive, s’attriste le propriétaire d’une droguerie de la Lippenslaan, la grande rue commerçante de Knokke. Si vous devez absolument faire pipi, et que vous avez 500 mètres à parcourir avant le premier WC, vous faites comment ? »
C’est précisément pour résoudre la question existentielle du « vous faites comment ? » que Knokke s’apprête à renforcer comme d’autres stations de la Côte son dispositif de toilettes publiques. Mais pas n’importe quelles toilettes. Des toilettes propres et nettes. C’est une nécessité pour cette commune dont l’économie doit beaucoup au standing.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
-
Posté par Raspe Eric, jeudi 1 avril 2021, 10:59
-
Posté par MAESEN Jean-Luc, jeudi 1 avril 2021, 16:33
-
Posté par Raspe Eric, jeudi 1 avril 2021, 14:32
-
Posté par MAESEN Jean-Luc, jeudi 1 avril 2021, 11:56
-
Posté par Rahier Pierre, jeudi 1 avril 2021, 0:35
Plus de commentairesBref, cela sentira la marée!
Merci pour l'invitation à "approfondir" le sujet Mr. Raspe. Je ne connaissais pas du tout le "fromage cambodgien" (Prahok) à base de poissons écrasés, salés et fermentés. Il me faut bien admettre que ces régions "extrême-orientales" restent pour moi (contrairement à d'autres) assez "exotiques" et "connues seulement en théorie".
Monsieur Maesen, plutôt le poison fermenté cher à la cuisine cambodgienne.
Et le poisson faisandé (si l'on peut dire, ce "traitement" concernant habituellement le gibier)...
Mais enfin, les bobos qui vont à Knokke ne pissent jamais en rue...