15 millions de doses de Johnson&Johnson gâchées après une erreur de fabrication
En raison d’un incident dans le processus de production, Johnson&Johnson a dû jeter 15 millions de doses de son vaccin contre le coronavirus après qu’il se soit avéré inutilisable.

La société pharmaceutique américaine Johnson&Johnson a dû jeter 15 millions de doses de son vaccin contre le coronavirus après qu’il se soit avéré inutilisable en raison d’un incident dans le processus de production, rapporte le New York Times. La production a maintenant été retardée parce que l’organisme de réglementation américain doit effectuer des contrôles supplémentaires sur la chaîne de production de l’usine de Baltimore.
Mélange de vaccins
Johnson&Johnson a confirmé qu’un lot de vaccins ne répondait pas aux exigences de qualité. La société pharmaceutique a également révélé que le lot n’avait pas encore été mis en bouteille lorsque l’erreur de production a été découverte. Des travailleurs de l’usine de Baltimore auraient accidentellement mélangé des ingrédients provenant de deux vaccins différents.
Le site appartient à Emergent BioSolutions, la société qui produit le vaccin de Johnson&Johnson aux États-Unis. Le fabricant travaille également avec la société pharmaceutique anglo-suédoise AstraZeneca, qui a également développé un vaccin contre le covid.
En raison de cette erreur de fabrication, la distribution des vaccins de Johnson&Johnson aux États-Unis a été considérablement retardée. L’incident est extrêmement embarrassant pour l’entreprise pharmaceutique alors que ce vaccin, dont une seule injection suffit, devait considérablement y accélérer le programme de vaccination.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir10 Commentaires
C'est un poisson d'avril ?
Disons plutôt que ce fut une tentative de vaccin universel en mélangeant deux vaccins.
Quel dommage, il y a toujours le médicament l'ivermecitine qui fonctionne très bien : Une étude publiée par les japonais dont le prix Nobel Satoshi Omura exprime que « ne pas accepter l’ivermectine serait comme ne pas accepter la pénicilline en son temps. Un article publié la semaine dernière dans le Journal japonais des antibiotiques des Professeurs Morimasa Yagisawa, Patrick J. Foster, Hideaki Hanaki, avec comme co-auteur le prix Nobel de médecine Satoshi Ōmura, illustre la tendance mondiale dans les études cliniques de l’ivermectine. Cet article vient s'ajouter au tour du monde des pays qui utilisent l’ivermectine (Inde, Bangladesh, Nigeria, Egypte, Mexique entre autres) avec succès. http://jja-contents.wdc-jp.com/pdf/JJA74/74-1-open/74-1_44-95.pdf
Et encore le croisé Pe(e)ters répandit sa mauvaise foi, notons que tellement gêné de sa mauvaise foi il n'ose même plus cité la source de son copier-coller. Je vous la donne dans le mille, il s'agit de ....roulement de tambour, suspens...Francesoir.fr, comme c'est inattendu.
"RC Peeters" : on aimerait y croire, malheureusement les études en cours ne sont pas très encourageantes. [https://factuel.afp.com/lefficacite-de-livermectine-contre-le-covid-nest-pas-scientifiquement-demontree]. [https://www.news-medical.net/news/20210201/Ivermectin-may-not-be-the-e28098silver-bullete28099-antiviral-against-COVID-19.aspx].