La priorité absolue de Bruxelles: la normalité
Les patrons bruxellois tirent la sonnette d’alarme : Bruxelles va mal. Un retour à la normale est désormais indispensable pour sauver la capitale de la crise.


Le cocktail est amer. Imbuvable, même. Lockdown fin novembre, tunnels fermés depuis janvier, attentats le 22 mars, métro et aéroport au ralenti depuis lors : Bruxelles connaît sa période la plus sombre depuis, sans doute, la Deuxième Guerre mondiale. Avec, conséquence logique, le monde économique bruxellois qui tire la sonnette d’alarme en pointant une baisse de chiffre d’affaires de 40 % dans certains secteurs (horeca, loisirs, tourisme) et en fustigeant aussi le piétonnier.
À nos yeux, il s’agit pourtant, sereinement, de séparer les sujets et de ne pas confondre le piétonnier, choix politique qui peut être contesté et doit être amélioré, et la question de la gestion « post-attentats », bien différente. Même si pour certains commerçants, les pertes s’accumulent dans une espèce de cercle vicieux.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Les militaires dans le métro n'on pas le droit d'exiger des voyageurs d'ouvrir leur sac, seuls des policiers peuvent l'exiger. Dixit deux militaires au métro De Brouckère. Alors à quoi servent ces militaires ? A rien. On peut donc les retirer et ouvrir toutes les entrées de stations et laisser rouler le métro jusqu'à 24h dès demain.
Chers "patrons" ,la sonnette d'alarme est débranchée , depuis belle lurette à Bruxelles?(Chut ceci est un secret....)
Manque de moyens pour surveiller les stations en soirée ? Les stations sont-elles seulement surveillées en journée ? Oui, des gens sont présents mais, désolé de le dire tout haut, ils ne servent à rien. ils sont présents, mais ne réalisent aucun contrôle, sauf peut-être en fonction de la tête du client. Arrêtons ces dépenses inutiles et consacrons ce budget au renseignement. Cette situation ne fait que renforcer le sentiment d'insécurité ambiant à Bruxelles