Françoiz Breut Flux flou de la foule


On retrouve dans ce septième album cette petite musique de chambre douce, ces textes d’une grande sensibilité et ces mélodies pop finement tricotées. La production signée Marc Mélia a beau être plus électro, le cœur ici bat de façon organique, les corps s’entremêlant en repoussant le béton et le manque de lumière. Entre une nuit polaire et un corps flottant dans un lac, Françoiz nous invite à rêver, à nous évader de cette jungle urbaine qui nous étouffe et nous étreint. Ces « Dérives urbaines dans la ville cannibale » ne sont pas sans amour et nous font malgré tout beaucoup de bien…

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