Carte blanche sur les réfugiés: Quand le politique piétine toutes les valeurs d’humanité, de solidarité et de justice
En pleine pandémie, une famille d’origine syrienne a été contrainte de quitter notre territoire. Dans une lettre ouverte adressée aux autorités belges, les signataires réclament notamment le gel des retours non volontaires des réfugiés sans papiers présents sur notre sol.

Nous étions dans le doute et dans l’espoir que quelque chose aurait changé. Force est de constater néanmoins que l’annonce du secrétaire d’Etat et du gouvernement fédéral de se référer et d’appliquer dans les faits les droits humains, tels qu’inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, la Convention des Nations unies sur les réfugiés, la Convention européenne des Droits de l’Homme, la Convention internationale des droits de l’enfant, s’avère être une fausse promesse.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Ne serrait '-il pas préférable, lorsque une famille a reçu un ordre d'expulsion et avant de passer à l'acte, de se renseigner auprès de la police communale, des gens vivant près d'eux, les connaissances et avoir leur opinons plus tôt que ce lui de Fedasil , si le comportement laisse à désirer ? Si, aucune remarque ni condamnation n'est portée contre cette famille, pourquoi ne pourrait '-elle pas rester vu que ses personnes n'ont commis aucun acte contre la Belgique ? Nous somme quand même une terre d'accueil !!!!