Accueil Culture Mode

Le diable s’habille en Gucci

Des chiffres à la baisse qui font chanceler le groupe Kering, un film dont la maison redoute la sortie : la griffe italienne fête ses 100 ans dans une odeur de soufre et de « scarogna ».

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Culture Temps de lecture: 6 min

Ça commence comme une saga à la Scorsese. Mais à Londres – pas New York – en 1897. Guccio Gucci a 16 ans. Il a quitté Florence pour venir travailler comme groom à l’hôtel Savoy. Toute la journée, il épie les clients fortunés qui prennent l’ascenseur chargés de sacs, de malles, de valises. Il apprend à les connaître, repère ce qu’ils préfèrent, quelles matières, quels modèles, quelles boucles, quelles poignées, et quatre ans plus tard, voilà, il est prêt : il ouvre en 1921 une petite boutique de maroquinerie, sur le thème équestre, avec pour emblèmes un mors et un étrier.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Mode

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs