Thomas Johansson: «Si je regarde Federer jouer, j’écoute du classique. Si c’est Nadal, je mets AC/DC…»
David Goffin qui joue à Monte-Carlo pendant que Thomas Johansson déambule à Liège, voilà une scène qu’on n’avait pas imaginée jusqu’en novembre dernier à l’époque où le duo ne se quittait pas d’une semelle sur le circuit ATP, avant de se séparer. Le coach suédois en a profité pour rebondir du côté du sport qui monte en flèche en ce moment : le padel. En tant que nouveau manager général de l’APT Padel Tour, il supervise cette semaine, à Liège, le Belgium Open, retenu pour la première au calendrier international. On en a profité pour lui proposer une interview-vérité.

En ce moment où le mois d’avril découvre son premier fil, on avait pris l’habitude de discuter avec Thomas Johansson sous l’Azur de Monte-Carlo, à l’ombre du célèbre casino où les fortunes de Monaco font rutiler leur puissant cabriolet. C’était avant… Une période où il était aussi le coach de David Goffin. Cette semaine, nous avons rencontré l’ex-nº7 mondial, et vainqueur de l’Open d’Australie 2002, juste à côté de la magnifique gare Calatrava à Liège. Avec son masque, conditions sanitaires obligent, et surtout sa toute nouvelle casquette de manager général de l’APT padel Tour. Autre décor, autres circonstances, mais le Suédois de 46 ans reste le même : intéressant, cash et défenseur d’une honnêteté qui, dit-il, ne l’a pas toujours servi…

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