Le patron de l’aéroport de Charleroi exige un «plan B»
Après avoir été mis à l’arrêt toute une matinée en raison du manque d’effectifs chez Belgocontrol, l’aéroport de Charleroi fait le décompte des pertes encourues.


Quatre d’heures d’arrêt, au cours desquelles aucun avion n’a pu atterrir ni décoller de l’aéroport de Charleroi. C’est à la fois beaucoup moins que le chaos engendré par la vraie-fausse grève des contrôleurs aériens à l’aéroport de Bruxelles-National le 12 avril dernier, mais néanmoins nettement suffisant pour que le patron de l’aéroport de Charleroi sorte de ses gonds.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Une entreprise public, donc politique, est incapable de gerer les besoins des citoyens. C'est déjà le cas sans contestation avec l'énergie qui vous réserve encore des surprises désagréables mais plausibles.