Thomas Meunier: «Au départ, c’est un jeu que j’aimais bien»
Le Diable rouge a pris récemment une résolution radicale en se désabonnant de tous les comptes qu’il suivait sur les réseaux sociaux. La seule manière de se protéger face à la haine que l’on y déverse. Et de gagner pas mal de temps.


Jusqu’il y a peu, Thomas Meunier était particulièrement actif sur les réseaux sociaux. « Trop », dit-il aujourd’hui en se rendant compte qu’il y passait bien plus de temps que nécessaire, et ce pour y lire souvent des trucs regrettables. Aujourd’hui, le Diable rouge du Borussia Dortmund s’est auto-recadré et il ne s’en porte pas plus mal, que du contraire. Il ne suit plus personne, ni sur Twitter ni sur Instagram, où il continue toutefois de communiquer à l’attention de ses abonnés, et a appris à ne plus fixer son smartphone en permanence. Un revirement radical qui a changé sa vie. A l’heure où la haine est plus que jamais omniprésente sur la toile, où les sportifs sont particulièrement exposés, son témoignage sur cette forme de communication est particulièrement éclairant.

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