Un festival essentiel pour des artistes en devenir

On a hyper besoin de projets comme celui-là. Surtout dans le contexte actuel. » Violoncelliste, élève en deuxième de master au Conservatoire de Bruxelles, Marie Anthonioz est catégorique : le festival Courants d’airs est cette année un peu plus indispensable encore que d’habitude. « Au départ, c’était un petit projet né autour d’une partition. Mais dans une année morose comme celle qu’on a vécue, il est devenu un projet phare. »
Présenté en clôture du festival, le projet porté par Marie s’articule autour de Giovanni Sollima. « C’est un compositeur et violoncelliste qui offre une autre dimension du violoncelle. Il joue très bien n’importe quel style et dans ses compositions, il insère du rock, du métal, du jazz. C’est extrêmement vivant. »

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