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Bourde bien gérée, à moitié pardonnée

Dans les relations diplomatiques, les bourdes sont légion. Gérées avec élégance, elles ont d’ailleurs tendance à faire briller.

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Journaliste au service Monde Temps de lecture: 7 min

Le Sofagate et son aspect « maladresse protocolaire » n’est pas qu’« un épiphénomène de la bulle bruxelloise », estime-t-on dans les cercles européens. Le protocole, ce n’est pas « qu’une apparence, c’est un prisme grossissant. C’est comme la loupe qui va éclairer les relations très brutales en diplomatie, cela donne à voir la politique dans ce qu’elle a de plus violent, même quand c’est non intentionnel », nous explique François Foret, professeur de science politique à l’Université libre de Bruxelles.

L’exemple le plus célèbre reste sûrement la visite de la chancelière allemande Angela Merkel en Russie, en janvier 2007, quand Vladimir Poutine, président russe, l’a accueillie avec son énorme labrador alors qu’il était de notoriété publique qu’elle n’est pas à l’aise en présence de chiens.

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