Coronavirus: une femme enceinte est décédée à Bruxelles
Ce serait la première fois qu’une femme enceinte est décédée du covid dans le pays.

Une femme enceinte est décédée dans un hôpital bruxellois des suites du coronavirus, rapporte le site d’informations locales Bruzz, sur la base de l’Inspection d’hygiène bruxelloise, et le quotidien Nieuwsblad. L’information a été confirmée à Belga par le virologue de Sciensano, Steven Van Gucht. Il s’agit de la deuxième femme enceinte décédée du covid dans notre pays.
La femme enceinte, dont on ignore l’âge, a été admise aux soins intensifs face à la détérioration rapide de son état. On ignore dans quel hôpital elle est décédée, à quel mois de grossesse elle en était ainsi que le jour de son décès. Bruzz précise que dans les différents hôpitaux de la Région, 10 femmes enceintes atteintes de coronavirus se trouvaient en soins intensifs il y a deux semaines.
Dans le Nieuwsblad, Steven Van Gucht précise que la première femme enceinte était relativement âgée, de plus de 45 ans. « Depuis, plusieurs dizaines de jeunes sont morts du virus mais généralement, il y avait des conditions sous-jacentes », précise-t-il. On ignore si cette deuxième victime souffrait d’autres problèmes médicaux, ni si elle était vaccinée. Steven Van Gucht suppose que ce n’était pas le cas. « Cela me surprendrait à moins que ce soit une travailleuse de la santé », confie-t-il.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir11 Commentaires
cette nouvelle a besoin urgente d'un "fact-checking"
Quel article abscons (pour le journaliste ayant rédigé cet article cela veut dire "difficilement compréhensible"
Que l'article ait du sens est le dernier de leurs soucis. La seule chose importante est d'indiquer qu'une personne plus jeune est décédée pour veiller à ce que les bons moutons continuent à avoir peur.
@ Patris N'importe quoi! Le journaliste relaie seulement un fait (même si on ne sait pas bien s'il s'agit de la première ou deuxième vctime). Ces "histoires de moutons" deviennent lassantes.
A nouveau une histoire de moutons ? Non. Ce qui semble plus que clair par contre, est que certaines femmes en ceinte sont malheureusement à risque de développer une forme grave de la maladie. Et que les conséquences potentielles sont loin d'être négligeables. Ce fait avait déjà été mis en lumière en Israël, où ces femmes ont été reconnues assez rapidement comme personnes prioritaires pour la vaccination.