Couvre-feu, rassemblement, alcool…: les nouvelles mesures appliquées à Bruxelles dès le 8 mai
Les bourgmestres de la Région bruxelloise se sont mis d’accord.

Le ministre président de la région bruxellois Rudi Vervoort a réuni les bourgmestres pour décider du sort des mesures covid bruxelloises. Le couvre-feu s’alignera désormais sur la mesure fédérale, les rassemblements seront interdits à plus de trois personnes à partir de minuit.
Il sera également interdit de consommer de l’alcool dans l’espace public à partir de 22 heures (au lieu de 20 heures).
Ces mesures seront d’application dès le 8 mai.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir8 Commentaires
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Posté par cobbaert jean, mercredi 28 avril 2021, 18:55
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Posté par Jérôme De Greef, mercredi 28 avril 2021, 23:00
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Posté par LAURENT Christian, mercredi 28 avril 2021, 20:43
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Posté par cobbaert jean, mercredi 28 avril 2021, 18:55
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Posté par Wa Patrick, mercredi 28 avril 2021, 18:19
Plus de commentairesOn interdit plus qu'on ne permet....Couvre-feu à 22h alors qu'en dehors de Bruxelles c'est à minuit !!! Aucun sens. D'ailleurs les rues ne sont pas vides à 22h...Loin de là. Pourquoi attendre le 8 mai. Pareil pour les terrasses alors que les jardins sont pleins quand il y a un peu de soleil ! Etc...
Je sens que vous avez besoin d'une bonne bière, le manque vous fait dire portnawak :-)))
Lisez correctement les articles, au lieu de commenter à mauvais escient!
On interdit plus qu'on ne permet....Couvre-feu à 22h alors qu'en dehors de Bruxelles c'est à minuit !!! Aucun sens. D'ailleurs les rues ne sont pas vides à 22h...Loin de là. Pourquoi attendre le 8 mai. Pareil pour les terrasses alors que les jardins sont pleins quand il y a un peu de soleil ! Etc...
Etonnant, étant donné que dans une ordonnance d’une trentaine de pages, le tribunal de 1ère instance de Bruxelles donnait raison, le 31 mars dernier, aux arguments avancés à la Ligue des Droits Humains et la Liga Voor Mensenrechten, estimant que les mesures restrictives des libertés constitutionnelles et des droits de l’Homme, édictées par l’arrêté ministériel du 28 octobre 2020 et ses arrêtés subséquents, « ne reposent, en apparence, pas sur une base légale suffisante. » Un délai de 30 jours avait été laissé à l’État, sous peine d’une astreinte de 5000 euros par jour (et de 200.000 euros maximum), pour se mettre en conformité. Ce volet de l’affaire a fait l’objet, ce mardi, d’une remise au 18 mai en vue d’une réouverture des débats.